La hard sentience n’existe pas… C’est un terme inventé sans vergogne par moi-même, à l’issue de la lecture de « Un Souvenir de Loti » de Philippe Curval.
Ce terme vient de la contraction-aggrégation de deux mots : hard science (qui est un sous-genre de la science fiction) et sentience (qui désigne la capacité de ressentir).
Si la capacité de ressentir s’oppose par sa définition à la capacité de penser, alors la sentience est une sorte d’anti-science (au sens éthymologique bien sûr…) et la hard sentience désigne un sous-genre de la science fiction qui s’oppose à la hard science en ce sens qu’il fait la part belle au ressenti intuitif plus qu’au la validité factorielle scientifique.
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